dimanche 26 octobre 2008.
Parce que sans les autres nous ne pouvons pas avancer. *> 18:04.

Il y a cette fille dont je vais parler, ou à propos de laquelle je m'apprête à écrire. Vous pouvez cherchez tant que vous voulez qui elle est. Qui que vous soyiez à lire les mots qui vont suivre, peut-importe de quelle façon ou à quel degrés vous me connaissez vous ne pouvez pas la connaître.Ne cherchez pas, lisez juste si vous pensez que ça en vaut la peine. Maintenant que ceci est écrit...

Je voulais donc essayer de vous parler d'une jeune femme. C'elle grâce à qui j'avance la tête droite et le sourire aux lèvres chaque jour. C'est très difficile de poser des mots sur ce lien. Disons que quand j'ai un coup au moral je pense à elle, à ce qu'elle ferait ou me dirait. Et je puise en elle la force dont j'ai besoin. Oui, j'imagine que c'est quelque chose comme ça. Elle me donne la force de sourire, de me battre pour être heureuse. Je partage ses peines et je m'émerveille de ses rires. C'est pour ça je pense qu'en ce moment, si j'ai de la peine, ou si je ressens ce sentiment de solitude si familier, c'est grâce à son courage et à sa personnnalité que je surmonte ce qui me touche et peut me blesser.

Au moment où j'essaye d'ébaucher quelques lignes sur cette personne, où je cherche l'inspiration et les mots justes, elle répond à un simple "Comment vas-tu". Et ce qu'elle répond c'est tout simplement "c'est difficile, mais je suis heureuse". Et si aujourd'hui je peux répondre la même chose qu'elle c'est parce qu'elle a été là pour me guider.

Je ne sais pas si je peux dire que je marche dans ses pas, mais je sais que même si nous n'empruntons pas les mêmes chemins, se sont ses pas qui font avancer les miens. Nous sommes si différentes au fond. Et pourtant il y a tant de choses qui nous rapprochent, tant de sentiments, de vécus, d'épreuves qui nous réunissent. Tant de fois nous nous sommes relevées l'une avec l'autre, l'une grâce à l'autre, l'une pour l'autre.

C'est la théorie des dominos à l'envers comme l'a écrit Anna Gavalda, ou a écrit quelqu'un à propos de son livre je ne sais plus. J'emprunte des mots à des gens plus doués que moi dans l'art d'écrire, car j'aurais voulu faire de ce texte une merveille, mais je ne fais que bafouiller à l'écrit. Il n'est que répétitions et maladresses... C'est sûrement la preuve qu'il n'y a pas plus sincère que ces quelques lignes...

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