![]() Comme pour m'excuser des moments plein de guimauve *> 09:38. Attention, cet article risque d'être encore plus "niais" que les autres, et je ne sais même pas pourquoi je mets le mot niais entre guillemets comme disait notre cher prof de français de première " Surtout ne mettez pas de guillemets pour atténuer le sens d'un mot vous ne faites que le mettre en valeur ". Il était génial ce prof, mais bon ce n'ést pas l'objet de cet article. Avant de m'égarer je venais ici noter mon état d'esprit du moment, du moins essayer. J'ai de plus en plus peur de ne pas contrôler mes mots, de ne pas réussir à utiliser ce trésor qu'est la langue française pour exprimer ce que je ressents. Hier quelqu'un m'a demandé s'il y avait quelque chose que j'avais l'impression de bien faire... J'ai hésité à lui répondre l'écriture et je me suis bien vite ravisée... Et si je dis ça maintenant c'est que je viens encore de m'attarder sur le blog de cette demoiselle rencontrée récemment mais que j'apprécie tant, ainsi que sur le blog d'un charmant jeune homme que je connaîs par coeur, le blog et non le jeune homme malheureusement. En lisant leurs mots qui à défaut d'être " couchés sur le papier " sont épinglés sur la toile d'internet je frémis. Je ressens ce qu'ils racontent, je me noie dans leurs lignes. Leurs articles me rendent encore plus mélancolique que je ne suis déjà... Voilà une semaine que j'ai un poids sur le coeur, que je peine à respirer même au milieu de mes montagne si familières, que j'ai cette impression d'avoir les larmes aux yeux continuellement pendant des heures. Une semaine... Cette sensation ne me quitte pas depuis mon retour de Paris. Je suis désolée, j'ai bien conscience de me répéter encore et encore et de vous abrutir de mots à propos de Paris. Mais j'étouffe, et à défaut de pouvoir crier ou sauter dans le train qui part ce soir à 19h26 de la gare de Grenoble je viens écrire ici. Je crois que j'ai laissé un bout de moi-même là-haut, dans notre capitale. Je n'arrive pas à me replonger dans Grenoble, ville que j'aime pourtant à la folie. J'ai beau passer des moments agréables avec les gens que j'aime, je n'arrive pas à détacher mon souvenir de Paris. Mais je crois que je vais couper court à cet article, je vous promets ou du moins j'espère pour vous que ce sera le dernier qui évoquera Paris. Je suis venue ici vous parler de leurs écrits qui me touchent, m'enchantent et me marquent, vous les trouverez dans mes liens. Allez découvrir leurs univers vous ne serez pas déçus. Pétale(s) de rose : 0 |